Beja: Quatre citoyens roumains acquitté de la traite des crimes de personnes.
Quatre citoyens et les entreprises roumaines, d'une propriété, Ils ont été acquittés par la Cour de Beja, la forme pratique co-auteur et consommé d'un crime de traite des êtres humains et 23 documents crimes de soustraction.
groupe O, vieilli 26 et 38 ans, Il a été arrêté en 11 Novembre 2013, suite à une opération menée par la police judiciaire (PJ) dans la ville de Moura, où l'accusé résidé, après plainte 23 les personnes qui ont été exploitées.
Quelques jours avant la PJ de fonctionnement, GNR Serpa a saisi l'un des accusés, 72 passeports de nationalité roumaine des citoyens, parmi lesquels se trouvaient les demandeurs de travailleurs.
Dans la lecture du jugement, le président du Collectif des juges, levier Vitor, gauche critique sévère sera une enquête de la PJ que considéré comme «erronée, à savoir, comme l'identification des victimes ".
Le magistrat a jugé que "pas de constitution en tant que défendeur, le principal suspect, infirment les déclarations pour la mémoire future, victimes ", considérant que «ne pas assurer la contradiction, un droit de l'accusé ", conclu.
Vitor Maneta épargné le travail de PJ justifiant que «seulement une semaine plus tard servi des mandats de perquisition", auquel on a ajouté le fait que «pas la peine de connaître la ferme où les victimes ont travaillé", conclu.
Le cas est survenu 1 Novembre 2013, après après une semaine sans recevoir aucune rémunération, l'un des 23 travailleurs exploités, par téléphone mobile, contacté la police judiciaire et l'ambassade de Roumanie, à la fois à Lisbonne, après avoir formalisé plainte au poste de Serpa GNR, ce qui a déclenché les efforts des deux forces (GNR e PJ).
Ceci est le troisième cas de traite des êtres humains qui a été jugé par un tribunal à Beja, où treize d'un total de vingt citoyens roumains et deux sociétés fondées par les défendeurs, accusé de crimes de traite de personnes dans la cueillette d'olive, ont été condamnés à la prison, la quasi-totalité d'entre eux avec sursis.
Aucune totale, les juges qui ont jugé les trois cas, des peines de prison appliquées de 52 années et 6 mois et dissous les deux sociétés impliquées dans le système d'embauche des travailleurs exploités. Un seul des condamnés remplit l'emprisonnement.
Teixeira Correia
(journaliste)