Le réseau d'aide à l'immigration illégale de l'Est jugé. Un seul condamné, mais parti. Un mandat d'arrêt a été émis, mais le PSP n'a pas localisé le défendeur.
Alexandre Siubu, 36 ans, Roumain, le seul des cinq citoyens de l'Est qui ont comparu au procès, dans lequel ils ont été accusés des crimes d'aide à l'immigration clandestine, Il a été acquitté.
Un autre citoyen roumain, Madalin Ion de 43 ans, bien qu'il ait été prévenu, il n'était pas présent, dont l'avocat a déclaré qu'elle n'avait aucun contact avec le prévenu, Il a été condamné à 2 ans de prison, suspendu pour la même période, par 18 l'aide des crimes contre l'immigration clandestine.
Au cours du procès, le Collège des juges a reçu un mandat d'arrêt immédiat., mais à l'adresse Beja indiquée dans les archives, la PSP n'a pas localisé l'individu et n'a pas non plus été en mesure de comprendre où il s'est enfui.
Les trois autres accusés, tous les moldaves, Eugène Botraniuc de 25 ans, Iurie Cernica de 34 ans et Ivan Vasiliev de 30 ans, sont sous déclaration de contumace et ont été détachés de ce processus, se retrouver dans une partie incertaine, hors du Portugal.
L'affaire a commencé à faire l'objet d'une enquête en 31 Octobre 2014 suite à une plainte déposée au Poste Territorial GNR de São Bartolomeu de Messines, par deux victimes de nationalité roumaine après avoir fui une ferme à Ferreira do Alentejo, pour avoir été la cible d'exploitation par le travail.
Un an plus tard, un rapport d'incident enregistré par le GNR de ce lieu s'est retrouvé dans le processus., qui faisait état d'attaques entre citoyens de l'Est motivées par le refus de certains de travailler sans être payés, réalisé qu'ils seraient maltraités et soumis à l'exploitation par le travail, a fini par s'enfuir.
En Octobre 2017, deux citoyens moldaves ont porté plainte au commissariat de police de Beja PSP, où ils ont dénoncé la façon dont ils sont venus au Portugal et comment ils ont été traités. Avant de formaliser la plainte, à la porte du commissariat, ils ont été approchés par Madalin qui leur a proposé 1.000 euros chacun, pour éviter de signaler aux autorités.
Teixeira Correia
(journaliste)