Fª Alentejo: saisie, la violence familiale et de couple de plomb de l'abus d'être jugé.


Un couple est jugé pour l'enlèvement, la violence familiale et les mauvais traitements des enfants des femmes. Jugé par la Cour collective, risque sur 5 ans de prison.

Un couple vivant à Ferreira do Alentejo, Il a été jugé à huis clos devant la Cour pénale de Beja, devant une Cour collective, accusé de dix crimes d'enlèvement aggravé, deux la violence domestique, et un mauvais traitements perpétrés contre deux enfants mineurs des femmes, qui se sont avérés être institutionnalisé.

L'individu est également accusé de deux chefs de mauvais traitements infligés aux animaux de compagnie.

Sonia S., de 33 ans, et son compagnon, Paul F., de 29 ans, résidents Ferreira d Alentejo, compte pour les agressions commises entre Juin 2015 et Octobre 2017, contre le fils de la femme, maintenant 15 ans, avec coups de poing et coups de pied, coups de bâtons et de ceintures ou même avoir attaché le plus bas, support Asperger, condition qui implique une mauvaise communication et de socialisation.

A plusieurs reprises, le couple a prononcé des insultes contre le jeune homme le qualifiant de « pauvre et mongolien », ayant amarré, les mains et les pieds, à plusieurs reprises, de ne pas quitter votre chambre. Le jeune homme a également été obligé de faire plusieurs travaux de génie civil dans une maison que le couple destiné à demeurer. Pour empêcher les collègues ont vu les blessures subies par l'agression, le garçon n'a pas pu aller à l'école.

Profitant de l'absence de l'accusé, la victime enfuie de la maison, adressant la maison d'un camarade de classe, ayant dit à sa mère ce, présenterait plainte auprès de la GNR de Ferreira do Alentejo.

Quant à la fille, de 8 ans, Il a été forcé d'attaquer son frère avec à plusieurs reprises de ceinture, à la grande joie de l'accusé, Il fallait voir deux chiens du camarade mère pendu le couple avait reçu à la maison. La méchanceté de l'homme était telle, qui a forcé à être le gars de mettre l'animal dans un sac et les jeter à la poubelle. Les deux frères ont été institutionnalisés, en Août 2017, un centre d'accueil dans l'Algarve, où encore aujourd'hui sont.

Les accusés sont en liberté, par terme des identité et de résidence (TIR), le risque d'une peine plus sévère à cinq ans de prison, avec le procureur (MP) que si elles devaient être condamnés, elles sont appliquées comme mesures auxiliaires, l'interdiction de contact avec les victimes et paralyser l'exercice des responsabilités parentales.

Compte tenu de la gravité des faits et les dommages psychologiques que les mineurs ont subi le député a demandé que les accusés soient condamnés à payer au moins 10.000 euros à chacune des victimes.

Teixeira Correia

(journaliste)


Partagez ce message sur
468x60.jpg