Les militaires ont été « trahis » par les téléphones portables. L'affaire a été révélée par Lidador NotÃcias le jour 22 de septembre de l'année dernière et résulte de l'extraction d'un certificat du procédé, essayé à Beja, qui a condamné cinq soldats en 2019.
Sept soldats du poste GNR à Vila Nova de Milfontes du détachement territorial d'Odemira, Ils ont été accusés par les procureurs (MP) de ce village de 33 crimes, dont enlèvement, atteintes à l'intégrité physique qualifiée et abus de pouvoir. Les victimes sont originaires de pays asiatiques et la plupart ont déjà quitté le Portugal.
L'affaire a été révélée en exclusivité par Lidador NotÃcias (LN), en 22 Septembre l'année dernière, quand il s'est rendu compte que quatre soldats, dont deux ont été reconnus coupables de l'agression précédente contre des immigrants indiens, avaient été constitués en prévenu par la Police Judiciaire (PJ) Setubal.
Selon TVI/CNN Portugal, qui a eu accès à la dépêche de l'accusé du député remise la veille 10 Novembre, les militaires ont commis les crimes « en faisant un usage excessif du pouvoir d'autorité que leur confère le poste ».
Quand cinq soldats ont été arrêtés, en 8 Mai 2019, pour les actes perpétrés contre les immigrés, la PJ a saisi et analysé les téléphones portables des prévenus, avoir détecté des photos et des vidéos où d'autres citoyens asiatiques sont obligés de faire des pompes, sauter des jacks et ramper à l'extérieur et à l'intérieur du poteau.
Après avoir vu les images, les inspecteurs ont renvoyé l'affaire au parquet d'Odemira qui a extrait un certificat et ordonné l'enquête dans le cadre d'un processus autonome.
La PJ de Setúbal a averti les deux soldats, de 24 et 27 ans, propriétaires de téléphones portables, faire des déclarations ayant constitué les mêmes accusés. Assister aux actions étaient cinq autres soldats du poste, mais seulement deux d'entre eux ont été identifiés, les prévenus ont également été constitués. Les trois autres militaires apparus sur les photos et le tournage, leurs dos étaient, l'identification directe n'est pas possible, n'avoir été identifié par aucun des quatre accusés. Cependant, le commandant du poste a été appelé à témoigner devant la PJ et a identifié les militaires susmentionnés par les voix.
Dans une affaire jugée par le tribunal de Beja dont le jugement a été rendu le jour 3 Juillet 2020, et qui a pris naissance lors d'un dîner le dernier soir de septembre 2018, dans un restaurant à Almograve (Odemira), les deux principaux impliqués dans cette enquête qui accuse les sept militaires, Ils ont été condamnés, un 4 ans de prison et un autre à 3 années et 6 mois. Tous deux ont été suspendus de leurs fonctions au GNR pendant 2 ans.
GNR publie une déclaration
Le GNR a précisé que deux des sept militaires qui se sont filmés en train de torturer des immigrants asiatiques à Odemira (Beja), en 2019, purgent une peine de sursis prononcée par le ministère de l'Administration intérieure, tandis que les autres attendent des mesures de sanction.
Selon GNR, trois des agents du Détachement Territorial d'Odemira sont des récidivistes, après avoir été “impliqué dans des agressions contre des individus indonésiens”, en 2018. La clarification intervient après une enquête de CNN/TVI qui a révélé l'inculpation de sept éléments de la GNR sur un total de 33 crimes, pour avoir humilié et torturé des immigrés à Odemira.
“Concernant ce deuxième processus, selon ses termes au Parquet, la Garde informe que sur les sept prévenus militaires, deux récidivistes purgent une peine de sursis prononcée par S. Ex. l'AMI (Ministère des Affaires intérieures)”, lit dans une déclaration.
Segundo un GNR, les cinq soldats restants attendent des mesures de sanction, qui relèvent de la responsabilité de l'Inspection générale de l'administration interne (IGAI), entité supervisant le processus d'enquête en cours.
Teixeira Correia
(journaliste)